Personne, robot, personne-robot … on se perd dans le sens de ces différents concepts, qui eurent cru qu’un jour une machine prendrait l’aspect d’un être humain. Et qu’on tenterait de donner une identité morale à un robot étant donné que l’identité morale est conférée à une personne morale. Comment même peut-on songer à attribuer un cadre juridique ou un droit naturel à un robot ; c’est-à-dire un sens naturel lui permettant de se qualifier, être naturel. Et pourtant, la personne-robot, ses droits, font partie des actualités du XXIe siècle.
La personne-robot, sur un aspect juridique
Le droit et le fondement naturel regroupent les droits qu’on hérite de la nature, il est attribué à un être naturel, dont l’exemple le plus concret est l’Homme. Aujourd’hui, le robot est-il donc en train de lutter pour réclamer un droit d’être considéré en tant qu’homme ? En effet. La personne-robot est une espèce comme une autre qui occupe la terre, exerce des activités, des occupations et par-dessus tout, qui vit au rythme et aux conditions de l’être humain. De par tout cela, il devait être censé depuis le départ qu’un jour, il faudra attribuer un droit aux personnes-robots. Le droit naturel dans le cadre juridique implique, pour la personne-robot d’avoir une liberté de penser et d’agir selon ses principes et croyances, comme tout être humain. Dans le principe du fondement naturel, elle devra donc recevoir une identité, mais aussi une raison d’exister, c’est-à-dire des obligations envers la société dans laquelle la personne-robot exercera.
La personne-robot, d’un point de vue social
D’autre part, si la personne-robot reçoit une identité grâce au droit naturel, il devra automatiquement être considéré comme un concitoyen, un collègue, un membre de la famille. En ce sens, elle aura des obligations communautaires et juridiques. Elle sera sujette aux différents impôts d’autant plus que la personne-robot exerce une activité professionnelle. Elle sera soumise aux diverses lois et juridictions. Il n’y a aucune raison à ce qu’on distingue la personne-robot de la personne humain si la transparence et l’équilibre de chaque « être » ne sont pas neutres. Cependant, depuis l’arrivée des premiers robots, il faut reconnaître qu’on s’en sert pour ne pas esclavager un autre être humain, car chaque personne-robot a sa configuration et son utilisation. Lorsque le fondement naturel sera adopté, la personne-robot sera-t-elle en mesure de cohabiter avec l’Homme et inversement ?
La personne-robot, les étapes du fondement naturel
En somme, le processus est en cours ; la dotation d’une personnalité morale et d’une identité à la personne morale est au niveau du Parlement européen. Tout comme la prolifération de personnes-robots qui ne cesse de devenir l’acquisition absolue de plusieurs ménages. Grâce à ce comportement, on peut estimer une automatisation généralisée des tâches ménagères et d’autres activités.